Les collages combinent des éléments les plus variés. Ils permettant des réitérations tant volontaires que culturelles, et d’activer des connexions dans notre mémoire vive.

Chaque collage constitue ainsi une image en construction, une sorte de « Mondes des mondes ». De modéliser ces “languages de deuxième niveau” énoncé par le sémiologue Paolo Fabri. Ces modélisations permettent ainsi des associations rapides d’éléments, qui confrontent différents domaines d’expériences.

Cette méthode permet également de proposer différents contextes, mais aussi d’autres narrations en vu de développer de nouvelles images bien dissociées, qui seront alors à leur tour réintroduites dans d’autres collages, jusqu’à ce qu’ils s’approchent le plus possible de notre « mémoire vive » universelle.

Ma vision est et demeure poétique.